3 idées reçues sur l’impression 3D
De plus en plus répandue dans l’industrie, l’impression 3D révolutionne les méthodes de fabrication malgré tous des idées reçues persistent.
Idée reçue n°1
L’impression 3D produit des pièces de mauvaise qualité (état de surface filandreux, fragilité…).
Faux. Mais c’était vrai à ses débuts. Aujourd’hui l’impression 3D s’inscrit efficacement dans la production industrielle grâce aux développements de matières à hautes performances. Ces matières donnent à nos bols vibrant des qualités comme :
- Une résistance chimique élevée : aux carburants, huiles, gaz, eau, solvants, divers fluides industriels,
- Une très bonne résistance aux chocs, à l’élongation et à l’abrasion,
- Une excellente résistance au vieillissement, offrant une durée de vie fonctionnelle très importante.
De plus certaines matières sont aujourd’hui approuvées pour le contact alimentaire ou encore des applications chirurgicales, d’autres sont capables d’une précision de l’ordre du micron avec l’impression 3d par fusion laser. On trouve de très nombreux produits en fabrication additive pour le grand public et dans des secteurs de pointe en recherche d’innovation permanente comme l’automobile, l’aéronautique, l’aérospatiale.
Idée reçue n°2
L’impression 3D ne sert qu’à fabriquer des prototypes
Faux. Le développement de prototypes est effectivement facilité avec l’impression 3D. Cela nous permet de concevoir les prototypes de nos bols vibrants plus rapidement et de les réaliser dans des matériaux peu couteux. Ainsi la fabrication additive permet de vérifier les différentes hypothèses d’un projet dans un temps très court. L’impression 3D permet aussi de réaliser des bols vibrants pour la distribution de composants à la géométrie complexe.
L’impression 3D se montre très efficace dans sa capacité à produire localement, à réduire les coûts de production et à être flexible. Tous nos bols vibrants issus de la fabrication additive sont reproductibles et seront parfaitement identiques au bol d’origine et ce malgré la contrainte du sur-mesure.
Idée reçue n°3
L’impression 3D ce n’est que du plastique
Faux. Si l’impression 3D métal est apparût un peu plus tard que l’impression 3D polymères, l’impression métal offre aujourd’hui des possibilités techniques incomparables. Ce type d’impression est réalisé avec des procédés spéciaux donnant des propriétés mécaniques remarquables.
Il existe différents procédés. Entre la fusion sur lit de poudre, le dépôt de métal ou encore les systèmes hybride et différents métaux compatibles avec la fabrication additive. L’impression 3D métal permet de travailler avec des matières haut de gamme, comme le titane ou l’or. Cependant les alliages souvent utilisés dans nos fabrications sont :
- L’aluminium, pour sa légèreté et solidité,
- L’acier Inoxydable 316L, pour sa résistance à la corrosion et sa ductilité élevée,
On trouve également des matériaux comme le gallium, le colbat-chrome souvent pour les applications médicales, mais aussi l’argent et le bronze.
Notez aussi que l’impression 3D métal vous permet de perdre moins de matières qu’avec des méthodes de fabrication traditionnelles. Cela réduit le coût de production par rapport à une production classique.
Si vous souhaitez des informations sur nos bols vibrants et la fabrication additive, contactez-nous.